Fakes, dessins de presse et satiriques sur le temps qui passe... Et autres bricoles directement réalisées sur la bécane.
samedi 31 mai 2008
vendredi 30 mai 2008
jeudi 29 mai 2008
mercredi 28 mai 2008
mardi 27 mai 2008
lundi 26 mai 2008
dimanche 25 mai 2008
Coquetterie martienne...
samedi 24 mai 2008
vendredi 23 mai 2008
Il suffisait de presque rien !...
jeudi 22 mai 2008
Exposition à Bogota
Un sympathique geste de Camilo A. Triana, qui m'envoie sa photo devant un de mes dessins exposé à l'occasion du Concours International d'Humour Graphique de Bogota (Colombie).
mercredi 21 mai 2008
mardi 20 mai 2008
lundi 19 mai 2008
Bon sang...
Bon Sang - Paroles et musique : Régis NAJAC
J’ai du sang Latin,
Et puis du sang Indien,
J’ai du sang Bleu, j’ai du sang Vert,
Du sang à tort et à travers.
J’ai du Cathare, j’ai du Youpin,
J’ai du Mauresque et du Romain,
J’ai du Germain, de l’Espagnol,
De l’Africain et du Mongol.
J’en passe
Et j’en passe
Et j’en passe mon vieux,
Excuse-moi du peu !
Et si tout ça ça fait,
Un excellent français,
Ça ne fait pas de moi,
Un excellent soldat !
J’ai du sang Animals,
Du sang Heavy Métal,
J’ai du sang Jazz et du sang Rock,
J’ai du sang Blues, du Belle Époqu’ !
J’en ai du Folk et du Java,
Du Country, du Brandebourgeois,
Du Terroir, du globe-trotter,
Sang de partout et puis d’ailleurs.
J’en passe
Et j’en passe
Et j’en passe mon vieux,
Excuse-moi du peu !
Et si tout ça ça fait,
Un excellent français
Que tu le veuilles ou pas
Je ne danserai pas !
J’ai du sang Wolinski,
Du Modigliani,
J’ai du sang Chapelle Sixtine
Et du sang graffitis en ville.
J’ai du Dali, j’ai du Monet,
Du Lautrec et du Tintoret
De l’Académique Primaire,
Et pas mal de Reiser.
J’en passe
Et j’en passe
Et j’en passe mon vieux,
Excuse-moi du peu !
Et si tout ça ça fait,
Un excellent français
Faut pas compter sur moi
Pour que je marche au pas !
J’ai du sang transfusé,
J’ai du sang refusé,
J’ai du sang de vaurien,
Qu’en a pas sur les mains.
Du sang froid pour me taire,
Du révolutionnaire.
Du sang qui abreuve les sillons,
Du sang du Vieux Léon.
J’en passe
Et j’en passe
Et j’en passe mon vieux,
Excuse-moi du peu !
Et si tout ça ça fait,
Un excellent français
Ça fait surtout, ben tiens !
Un simple Terrien !
J’ai du sang Bleu, j’ai du sang Vert,
Du sang à tort et à travers.
J’ai du Cathare, j’ai du Youpin,
J’ai du Mauresque et du Romain,
J’ai du Germain, de l’Espagnol,
De l’Africain et du Mongol.
J’en passe
Et j’en passe
Et j’en passe mon vieux,
Excuse-moi du peu !
Et si tout ça ça fait,
Un excellent français,
Ça ne fait pas de moi,
Un excellent soldat !
J’ai du sang Animals,
Du sang Heavy Métal,
J’ai du sang Jazz et du sang Rock,
J’ai du sang Blues, du Belle Époqu’ !
J’en ai du Folk et du Java,
Du Country, du Brandebourgeois,
Du Terroir, du globe-trotter,
Sang de partout et puis d’ailleurs.
J’en passe
Et j’en passe
Et j’en passe mon vieux,
Excuse-moi du peu !
Et si tout ça ça fait,
Un excellent français
Que tu le veuilles ou pas
Je ne danserai pas !
J’ai du sang Wolinski,
Du Modigliani,
J’ai du sang Chapelle Sixtine
Et du sang graffitis en ville.
J’ai du Dali, j’ai du Monet,
Du Lautrec et du Tintoret
De l’Académique Primaire,
Et pas mal de Reiser.
J’en passe
Et j’en passe
Et j’en passe mon vieux,
Excuse-moi du peu !
Et si tout ça ça fait,
Un excellent français
Faut pas compter sur moi
Pour que je marche au pas !
J’ai du sang transfusé,
J’ai du sang refusé,
J’ai du sang de vaurien,
Qu’en a pas sur les mains.
Du sang froid pour me taire,
Du révolutionnaire.
Du sang qui abreuve les sillons,
Du sang du Vieux Léon.
J’en passe
Et j’en passe
Et j’en passe mon vieux,
Excuse-moi du peu !
Et si tout ça ça fait,
Un excellent français
Ça fait surtout, ben tiens !
Un simple Terrien !
Les cucus...
Les Cucus - Paroles et musique : Régis NAJAC
Les Cucus c’est les bobos de la culture,
Qui sévissent dans les sous-préfectures,
Et partout où ils ont le haut du pavé,
Qu’ils ont acquis de ceux qui les lançaient.
Indécrottables bateleurs de décadence,
Présomptueux flatulents de suffisance,
C’est les planqués de cette gauche caviar,
Triste héritage de nos espoirs.
Les Cucus c’est les bobos de la culture,
Ils savent tout de la musique à la peinture,
Ils ont tout vu, ils ont tout fait et ce qu’ils font,
Ça boucherait pas mal de canalisations.
En premier lieu celles auxquelles vous pensez,
Les évacuations, bien sûr, des cabinets,
Encore qu’ils soient très capables ces lascars,
D’être certains d’avoir pondu des œuvres d’art.
Les Cucus ils étalent la confiture,
Figures humaines de leurs caricatures,
Les Cucus se prennent pour des êtres sacrés,
En oubliant qu’ils sont issus du macramé.
Entre Jackson Polock et l’ergothérapie,
Entre les frasques des salons et des nantis,
Depuis Miro jusqu’aux colonnes de Buren,
L’important c’est la promotion des copains.
Ils vont chercher très loin d’onéreux créateurs,
Et se prenant pour de superbes orateurs,
Ils vous balancent à coup de libéralité,
Quelques pitres qu’ils ont vus à la télé.
Ils ont troqué le pétard pour le Pomerols,
Leur sac à dos pour de fringantes bagnol’s,
Ils ont changés leurs idées de soixante-huitards
Plus assez compatibles avec leurs costards.
Ils donnent à fond dans l’écologie à l’aise,
Tant pis si leur comportement par de la caisse,
Tant pis si en guise de tri sélectif,
Ils favorisent plutôt les poncifs.
Il faut bien faire comprendre à la populace,
Que leur mandant ce n’est pas de la mélasse,
Faut bien la persuader que leur implication,
Dans la culture ce n’est pas du bidon.
Les Cucus c’est les fayots de la Corniche,
À qui Tonton Brassens aurait botté les miches,
Ils préfèrent connaître toutes ses chansons,
Plutôt que d’en tirer les idoines leçons.
Z’ont renié les chansonniers de leur enfance,
Dilapidé leurs héritages d’espérance,
Comme s’ils n’avaient jamais eu 20 ans,
Comme s’ils n’avaient jamais eu d’enfant.
Ils se réclament de Brel et de Ferré,
Mais se conduisent comme s’ils les oubliaient,
Ils sont devenus de vrais lèche-cucus,
Et pensent en rond en pétant menu,
Et ça vous rond-de-jambes entre amis,
Et ça vous flagorne si tu es du parti,
Et ça vous prend pour plus bas que ce qu’ils sont :
Une assez fabuleuse bande de cons.
Les Cucus c’est les bobos de la culture,
Qui sévissent dans les sous-préfectures
Et partout où ils ont le haut du pavé,
Qu’ils ont acquis de ceux qui les lançaient.
Indécrottables bateleurs de décadence,
Présomptueux flatulents de suffisance
C’est les planqués de cette gauche caviar,
Triste héritage de nos espoirs.
… La Madelon vient nous servir d’armoire
Qui sévissent dans les sous-préfectures,
Et partout où ils ont le haut du pavé,
Qu’ils ont acquis de ceux qui les lançaient.
Indécrottables bateleurs de décadence,
Présomptueux flatulents de suffisance,
C’est les planqués de cette gauche caviar,
Triste héritage de nos espoirs.
Les Cucus c’est les bobos de la culture,
Ils savent tout de la musique à la peinture,
Ils ont tout vu, ils ont tout fait et ce qu’ils font,
Ça boucherait pas mal de canalisations.
En premier lieu celles auxquelles vous pensez,
Les évacuations, bien sûr, des cabinets,
Encore qu’ils soient très capables ces lascars,
D’être certains d’avoir pondu des œuvres d’art.
Les Cucus ils étalent la confiture,
Figures humaines de leurs caricatures,
Les Cucus se prennent pour des êtres sacrés,
En oubliant qu’ils sont issus du macramé.
Entre Jackson Polock et l’ergothérapie,
Entre les frasques des salons et des nantis,
Depuis Miro jusqu’aux colonnes de Buren,
L’important c’est la promotion des copains.
Ils vont chercher très loin d’onéreux créateurs,
Et se prenant pour de superbes orateurs,
Ils vous balancent à coup de libéralité,
Quelques pitres qu’ils ont vus à la télé.
Ils ont troqué le pétard pour le Pomerols,
Leur sac à dos pour de fringantes bagnol’s,
Ils ont changés leurs idées de soixante-huitards
Plus assez compatibles avec leurs costards.
Ils donnent à fond dans l’écologie à l’aise,
Tant pis si leur comportement par de la caisse,
Tant pis si en guise de tri sélectif,
Ils favorisent plutôt les poncifs.
Il faut bien faire comprendre à la populace,
Que leur mandant ce n’est pas de la mélasse,
Faut bien la persuader que leur implication,
Dans la culture ce n’est pas du bidon.
Les Cucus c’est les fayots de la Corniche,
À qui Tonton Brassens aurait botté les miches,
Ils préfèrent connaître toutes ses chansons,
Plutôt que d’en tirer les idoines leçons.
Z’ont renié les chansonniers de leur enfance,
Dilapidé leurs héritages d’espérance,
Comme s’ils n’avaient jamais eu 20 ans,
Comme s’ils n’avaient jamais eu d’enfant.
Ils se réclament de Brel et de Ferré,
Mais se conduisent comme s’ils les oubliaient,
Ils sont devenus de vrais lèche-cucus,
Et pensent en rond en pétant menu,
Et ça vous rond-de-jambes entre amis,
Et ça vous flagorne si tu es du parti,
Et ça vous prend pour plus bas que ce qu’ils sont :
Une assez fabuleuse bande de cons.
Les Cucus c’est les bobos de la culture,
Qui sévissent dans les sous-préfectures
Et partout où ils ont le haut du pavé,
Qu’ils ont acquis de ceux qui les lançaient.
Indécrottables bateleurs de décadence,
Présomptueux flatulents de suffisance
C’est les planqués de cette gauche caviar,
Triste héritage de nos espoirs.
… La Madelon vient nous servir d’armoire
dimanche 18 mai 2008
samedi 17 mai 2008
vendredi 16 mai 2008
jeudi 15 mai 2008
mercredi 14 mai 2008
mardi 13 mai 2008
lundi 12 mai 2008
Hymne opiOM
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