jeudi 25 février 2010

Bol d'air sur le Causse...

Pas de dessins aujourd'hui. J'ai profité d'une après midi sans pluie pour aller balader sur le Causse voir mes chers menhirs, dolmens et cromlechs...

Le N° 1 du Landre


Inspecté par l'archéologue Uliss


Le N° 2 du Landre


Également inspecté par l'archéologue


Et puis je suis allé sur Google Map vérifier si on les voyait. Ils sont bien là ! Deux points minuscules certes mais présents ! Merveilleux et inquiétants progrès de la technologie !.. Big brother is watching you !

mercredi 24 février 2010

L'âne bourre guère...

Chemin de la rivière

Les fortes pluies ont bien nettoyé la rivière... et son chemin ! Quand ça dégueule à la chaussée ça dégueule !!!!!




Et pendant que je dessinais, mon salaud d'Ulis - en bon chien de chasse qu'il est, bien que je ne sois pas chasseur - n'a rien trouvé de mieux que d'aller se rouler.... dans la merde ! Il a fallu que je rentre d'urgence le passer à la douche pour le décrotter !... Pas fier le mec !.... Mais j'aime toujours la nature... et mon chien !

lundi 22 février 2010

H2O.... auto censure !

Crobarder sur la sécheresse alors qu’il pleut à verse depuis hier, pourrait passer pour une lubie de dessineux !

En fait je suis actuellement sur une expo dont le thème est l’eau. Ce dessin faisait parti du nombre des envois prévus, mais j’ai réalisé au dernier moment qu’il n’avait aucune chance de figurer aux cimaises vu que l’expo est en Iran !

J’ai décidé de ne pas l’envoyer et c’est vous qui en profitez en priorité...

vendredi 19 février 2010

Chat qui expire ?... Rien !

"Les grandes peurs du lendemain refont surface chez les jeunes" (La presse)

mardi 9 février 2010

Ça eu payé !...

À l'eau... aime !

Dessin dédié à Cétacé...

Méfi lou z'oeuf !...

"Ce devait être le grand retour philosophique de Bernard-Henri Lévy. Patatras ! L’opération semble compromise par une énorme bourde contenue dans « De la guerre en philosophie », livre à paraître le 10 février. Une boulette atomique qui soulève pas mal de questions sur les méthodes de travail béhachéliennes.

À la page 122, il s’en prend fougueusement à Kant, « ce fou furieux de la pensée, cet enragé du concept » (un peu audacieux de la part d’un penseur qui ne peut, somme toute, revendiquer à son actif qu’un brelan de concepts pour news magazines comme le « fascislamisme » ? Même pas peur ! BHL a des billes ! Le vieux puceau de Königsberg n’a qu’à bien se tenir) et dégaine l’arme fatale. Les recherches sur Kant d’un certain Jean-Baptiste Botul, qui aurait définitivement démontré « au lendemain de la seconde guerre mondiale, dans sa série de conférences aux néokantiens du Paraguay, que leur héros était un faux abstrait, un pur esprit de pure apparence ». Et BHL de poursuivre son implacable diatribe contre l’auteur de « La Critique de la raison pure », « le philosophe sans corps et sans vie par excellence ».

Il en sait des choses, Bernard-Henri Lévy. Le néo-kantisme d’après-guerre. La vie culturelle paraguayenne. Seul problème, Jean-Baptiste Botul n’a jamais existé. Pas plus que ses conférences dans la pampa, auxquelles BHL se réfère avec l’autorité du cuistre. Ce penseur méconnu est même un canular fameux. Le fruit de l’imagination fertile de Frédéric Pagès, agrégé de philo et plume du « Canard enchaîné », où il rédige notamment chaque semaine « Le journal de Carla B. ». Un traquenard au demeurant déjà bien éventé depuis la parution de « La vie sexuelle d’Emmanuel Kant », pochade aussi érudite qu’hilarante publiée en 1999 (et rééditée en 2004) aux éditions Mille et une nuits sous le pseudonyme de Botul. Une simple vérification sur Google aurait d’ailleurs pu alerter le malheureux BHL. Le même Botul y est en effet aussi répertorié pour avoir commis une œuvre au titre prometteur : « Landru, précurseur du féminisme ».