mardi 30 novembre 2010

Madone de la bravitude... Le retour !

Abécédaire d'un quinquennat (N-Z)

Texte B.Mode - Ruminances

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N comme nihilisme : au sein de la jeunesse entre autres, il se sédimente un je ne sais quoi de rejet total de la ploutocratie. Dégoût ? Mieux vaut ne croire en rien que de gober le tout. Le tout est à l'égout comme dirait la belle-doche du cap Nègre.

O comme ostracisme : estampillé Hortefeux-Besson, figures de proue du répugnant vaisseau amiral. Tremblez bohémiens et autres basanés. L'ordre nouveau tente de régner.

P comme pédophile : message aux plumitifs lénifiants. Lécher n'est pas tromper… Vous n'en avez pas marre de vous faire piétiner par un autocrate en graine ? Réagissez, bon dieu de bois !

Q comme quinquennat : à oublier d'urgence au vu de l'avalanche des méfaits commis. L'histoire retiendra le passage d'un coq hystérique dans une (très) basse-cour aux ordres.

R comme roms : DCD-rom, c'est la funeste collec que nous a inventée l'albinos du flouze blanc tout l'été dernier. Comme dirait l'autre, quand y'a un rouquin, ça va, c'est quand y'en a beaucoup que ça se gâte…

S comme Strauss-Kahn : le mari volage de l'ancienne femme-tronc fait l'objet de toutes les convoitises. Aussi (à) gauche qu'un prestidigitateur, il aime à faire mariner la boudeuse Martine et son troupeau d'éléphants voraces.

T comme turpitude : humiliations de journaleux et autres sondiers radio-télévisuels, villes mortes quand le monarque vient à les visiter, fascination pour le luxe et le gaspillage ! Salauds d'pauvres, va !

U comme Usurier : les banksters se goinfrent en spéculant sur le petit peuple qui veut devenir proprio. Résultat oeuf course, le système implose et le petit peuple doit renflouer les banksters tout en se faisant expulser de son home sweet home.

V comme Villepin : quand j'avance, tu recules, comment veux-tu que je t'… Je vous laisse deviner la suite. Pas très classe, j'en conviens mais tellement symptomatique de la technique louvoyante de Crin Blanc qui dénonce un jour et qui rétro-pédale le lendemain.

W comme Woerth : facteur le matin pour les enveloppes Bettencourt, cheval le soir pour les hippodromes chéris par son épouse Floflo. Facteur Cheval, jamais ! Ce mec est tout moche, ce mec est trop…

X comme Xavier : l'ancien assureur a fait de l'UMP un club somnifère. Copé a repris l'affaire en sévèrement burné. Pour le remercier de sa joviale apathie, l'agité a nommé le gros Bertrand aux affaires sociales en lieu et place du divin tonsuré trop impliqué dans l'astiquage de l'argenterie de la vieille.

Y comme Yade : la très chère odalisque a outrepassé ses droits ! Et pas simplement de l'homme. Elle a osé égratigné un chouia l'image de notre Narcisse culte. Crime de lèse-majesté, elle a été débarquée comme une vieille chaloupe en désuétude. Telle est Rama !

Z comme zozo : telle est l'appellation affublée à notre Colombo-écolo préféré par le sourcilleux Fillon ! Vexé, le concubin de Béa a mis les adjas. Mais, selon le Canard, il a négocié sa sortie avec Chou carré. Il se présenterait en 2012 pour siphonner les voix des Villepino-Bayrouïste-Morinesques et se désisterait au second tour en faveur du poison neuilléen. Vus ses émolulents, Tapie n'aurait pas ou faire l'affaire ?

dimanche 28 novembre 2010

Abécédaire d'un quinquennat (A-M)

Texte B.Mode - Ruminances

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A comme affaire : Karachi, Bettencourt-Woerth, Clearstream, le prince Jean à l'EPAD, les sondages élyséens de Buisson, le pantouflage Pérol, l'imbroglio Proglio, j'en passe et pas forcément des meilleurs. Et dire qu'on nous avait promis une république irréprochable.

B comme banane : celle de Borloo relooké pour essayer de faire premier sinistre. Flop. Celle revendiquée par l'agité en pleine crise éconocroque. Flip. Celle sur la peau de laquelle "va glisser le système" dixit Méluche en évoquant le scandale des rétrocommissions pakistanaises. Flap flap.

C comme Carla : ex-top model embauché par un publicitaire sur le retour pour faire première potiche de France. Semble condamnée à désespérément s'ennuyer jusqu'en 2012. Et après ?

D comme Dati : beurette catapultée à la justice pour faire symbole qui a vu sa côte fondre comme neige au soleil au fur et à mesure de bourdes récurrentes. Est même accusée de propager des bruits de gogues sur les infidélités du couple présidentiel.

E comme énervé : "casse toi pov' con", "amis pédophiles, à demain", "descend un peu le dire", sont les faces immergées de l'iceberg élyséen. Connard serait le substantif le plus usité dans les couloirs feutrés du Faubourg Saint-Honoré.

F comme Fillon : ex-pilote de course embauché par un caractériel pour faire première potiche de France. Fait semblant d'avoir repris du poil de la bête depuis son vrai-faux départ.

G comme grenouillage : petits arrangements entre amis pourrait être la devise gravée sur le perron élyséen tant la justice semble désormais au service des riches et des puissants. Même la Cour européenne des droits de l’homme condamne la France pour le manque d’indépendance des magistrats du parquet.

H comme honte : expulsions des roms, affaire des "auvergnats", xénophobie larvée. La clique gouvernementale n'aime pas les différences. La commission européenne chargée de la justice et des droits des citoyens accuse la France de discrimination raciale.

I comme inculte : passé sans transition de Zidi à Bergman, de Barbelivien à Dylan et de Bibi Fricotin à Kierkegaard, mérite le respect. Par contre, la culture, c'est comme le vernis, faut pas gratter trop fort.

J comme Juppé : ex-futur président exilé au pays des caribous pour cause de Chiraquie exacerbée et revenu aux affaires pour défendre le pays. Semble curieusement atteint par la maladie d'Alzheimer quand on lui cause vente d'armes.

K comme Karachi : quand on parle du sous-marin, on en voit le périscope. Une magouille d'état qui met au grand jour les pratiques douteuses de la cinquième république. Quelqu'un sait si de Gaulle s'est retourné dans sa tombe ?

L comme Lefebvre : inconnu au bataillon jusqu'en 2007, l'ancien chevelu est la grande star du quinquennat déliquescent. Abonné des plateaux téloche, il a irradié nos écrans de son ineptie et son inanité. Vient d'être nommé sous-ministre pour l'ensemble de son œuvre.

M comme misère : à chaque coin de rue, elle s'affiche. On ne compte plus les sans-abris, les précaires, les mal-logés, les morts de faim. Un jeune sur cinq vit sous le seuil de pauvreté. Elle est pas belle, ma raie publique ?

opiOM - Les dictons du WE

lundi 15 novembre 2010

TV pommade !.....

L'ouverture se referme ! Le centre se dissous !... À droite toute !...

vendredi 12 novembre 2010

Ça plan' pour môa !...

Allo Papa Tango Charly !
Allo Papa Tango Charly !
Vous perdez de l'altituuuuude
Dans les sondages comm' d'habituuuuude...